D'leh (anagramme de Held, héros en allemand !) est un chasseur de mammouths dont le père a quitté la tribu quelques années auparavant, malgré la prophétie de la chamane.
Après une chasse épique, la tribu est attaquée par des hommes à cheval qui raflent la moitié des membres du village pour les réduire en esclavage (les méchants !), et notamment Evolet, l'amoureuse de D'leh. Accompagné de Tic-tic (c'est pas moi le responsable de ce nom...) et de deux autres, D'leh partira au-delà des montagnes, trouvera une tribu africaine d'agriculteurs (je vous jure que ça fait bizarre !), dont le chef, ayant croisé la route du père de D'leh, parle parfaitement sa langue (l'anglais of course !) Réunissant de nombreuses tribus africaines, dont beaucoup de ses membres ont aussi été réduits en esclavage, D'leh mènent cette armée (forcément c'est le Blanc, le sauveur...). Ils longeront le fleuve jusqu'au Dieu qui fait construire des pyramides le long du fleuve (ça vous rappelle quelque chose ?) Pour prouver que ce n'est pas un dieu, il le tue d'un coup de lance. Ensuite sa copine meurt, tuée par le méchant (hou, il est vraiment vilain, celui-là !) Heureusement, la chamane meurt et, depuis de l'autre côté des montagnes où elle était restée avec la tribu, elle réussit on ne sait comment à envoyer son dernier souffle vital à Evolet, qui ressuscite !
Tout est bien qui finit bien !
10000 (2008, 1h49), film (?) américain de Roland Emmerich, avec Steven Strait, Camilla Belle...
Pour mon premier film depuis une vingtaine de jours, et après le dernier Peter
Oh, je me rends compte à présent que je viens de vous dire la fin de 10000. C'est ballot ! En fait, je pense que vous me remercierez un jour de vous avoir épargner le visionage de cette immondice...
Il faut dire que je partais avec des a priori car d'aucuns prétendent qu'il s'agit-là d'un film créationniste. Bourré d'anachronismes tous plus gros les uns que les autres, ce film au scénario aussi fin que débile n'est rien d'autre qu'une bouse immonde.
Il faut dire que le réalisateur n'est autre que Roland Emmerich, celui à qui l'on doit l'inénarrable Independance Day ! Cela n'excuse en rien, ça explique juste...
note :
A.C. de Haenne