Photos MAP, Le Matin, Jil El Ghiwane
A mi-septembre prochain, comme tous les enfants marocains de son âge, le prince héritier Moulay Hassan (voir Le prince Moulay Hassan, sur qui repose l'avenir du Royaume) commencera une nouvelle année scolaire. Il entamera sa troisième année. Au printemps dernier, au terme de sa deuxième année, il a reçu son diplôme et les félicitations de son papa (à gauche), la tête revêtue d'un tarbouche (voir Mon tarbouche remplacé par un turban berbère ?). Auparavant, il avait fêté son septième anniversaire, de manière assez décoiffante (au centre).
Moulay Hassan apprend déjà son futur métier de roi. On le voit à droite, avec quelques-uns de ses petits camarades, lors du Salon international de l’édition et du livre (SIEL), qui s'est tenu en février dernier à Casablanca.Photo encore plus sérieuse à gauche : le petit prince a été associé à la réception du nouveau président du Gabon, Ali Bongo Odimba, aux côtés de souverain et de son oncle, le prince Moulay Rachid. Le président gabonais s'est converti à l'islam, comme son père, alors que les Gabonais sont essentiellement chrétiens.
De son côté, la soeur de Moulay Hassan, Lalla Khadija (au centre), atteint ses trois ans et demi. Elle se trouve évidemment moins souvent sous les feux des photographes, malgré un très joli minois. Qui figure sur la photo de droite ? Ce n'est pas Moulay Hassan qui aurait subitement grandi et pris des cours de guitare, mais son père dans sa jeunesse, alors prince héritier plus insouciant et chargé de moins de responsabilités qu'aujourd'hui. A gauche, Jalal, fondateur du groupe Jil El Ghiwane.