souffle...lent et impetueux...zephir qu'on nous envoi des Dieux
La terre rugit, s'herisse, ce cabre en deux
Le tonnerre a surgit, l'attente est implacable
Le vent est dominé, mais s'ensuit une pluie pale
Un bourdonnement au coeur qui saurait ne faire mal
On essuie goutte a goutte cette eau qui viens du coeur
A grand coup de manche on distrait nos cris, nos peurs
on evite les averse, courrant vers tout les arbres
on cherche le courrant qui nous menera au marbre
et la posterité souffle...lente et impetueuse
la terre ne rugit plus on la broie, on la creuse
le tonnerre est parti, la pelouse impeccable
le vent devenu brise, fait rougir les joues pales
le bourdonnement est la, mais il s'eteint, de main en main
on n'essuie plus les pleurs, on les agites, c'est le dernier matin
La terre a repris le souffle venu des cieux
le zephir est parti, ne reste que les preux.
le vent souffle...