Marcher dans un sentier, ayant laissé derrière soi la Seine, la ville, se repérer aux numéros des parcelles, hésiter au croisement des chemins, et se risquer (ce n'est pas un grand risque) entre les buissons de mûres comme si on voulait se perdre un instant entre les racines sortant de terre leurs yeux étranges et le bois mort nourrissant le bois vif. Petite promenade ombragée d'un début d'après-midi.