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L’enculé a traité Sarkosy de voyou

Publié le 15 août 2010 par Plitanos
 Lenculé a traité Sarkosy de voyou

Le co-fondateur de Marianne se hisse trés haut quand Sarkosy tombe tout bas

C’est un type qui parle comme un voyou et qui dit « casse toi pauv’ con ». Moi, il m’a traité « d’enculé », y’a trois ans, devant sept ou huit personnes. c’est des propos paru dans Marianne et signé par JF Kahn. Il ajoute:  » Pour conserver le pouvoir, il est capable de tout, exactement comme les caïds des cités de banlieues.
JF Kahn n’est pas le seul a réagir au language du président. On n’est pas leader de gangs, mais de la france qui prone la tolérance. Les français sont-t-ils tous des voyous, sans vouloir l’avouer! Je ne pense pas que c’est cela qui caractérise l’identité Française.
Etonnant de voir des membres de tribus perdues au fin fond de l’afrique utiliser pour la première fois les réseaux sociaux pour réagir aux propos de Sarkosy. Je crois que même certaines populations qui vivent a l’extérieur de la france, se sentent visées par le language de Sarkosy a l’approche des élections.
Le CERD, composé de 18 experts de différents pays, a dénoncé cette semaine un « manque de volonté politique » en France face à une « recrudescence » des actes racistes et xénophobes
l’UMP focalise sur la nationalité de certains des 18 experts du CERD dont l’Algérien Noureddine Amir, le Russe Alexei S. Avtonomov, le Pakistanais M. Kemal Anwar (président), le Roumain Ion Diaconu ou le Turc Gün Kut »
Pourquoi n’a-t-il pas pas usé de ce language au début de son mandat? Pourquoi s’acharne il contre une population au passé identique a celui de son pére? JF Kahn se hisse tout haut quand Sarkosy tombe tout bas
Je pense a une question de Raphaëlle Bacqué a Jean-François Kahn : Faut-il aussi repenser la façon de faire du journalisme ?
Jean-François Kahn : Cela me fait mal de le dire, mais nous allons devoir changer notre mode d’écriture. Il y a un type de phrase qui est mort. Je le regrette, parce que je suis d’une génération qui aime ces phrases cicéroniennes, c’est-à-dire une phrase construite, longue, avec des incidentes. Il faut des phrases plus courtes. Mais surtout intégrer que tout accident grammatical rend la phrase moins accessible. S’il y a huit ou neuf mots après le sujet, eh bien il faut répéter le sujet. Les gens ne connaissent plus beaucoup des mots que nous employons. …

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