Un aréopage de sages (La fondation Öffentlichkeit und Gesellschaft et l’institut de recherche fög de l’Université de Zurich – pas le brouillard donc) plutôt de droite, on doit bien en convenir, estiment en gros, non sans une certaine raison, que la qualité de la presse diminue en Suisse, en termes châtiés.
Notamment en raison de la mode des gratuits et de celle, visiblement enseignée dans les centres professionnels adhoc, du copier-coller sans réfléchir. Que l’analyse fait défaut. Que le recul et la mise en situation-contexte de l’information se perd. Etc.
Puisque certains murmurent que les auteurs de cette remarquable et originale conclusion sont des sages, pourquoi n’ont-ils pas esquissé la moindre parcelle de demi-idée pour faire avancer la question et pour suggérer un ou des remèdes à cette situation.
Parce que la réponse les dérangeait ? Eux et le public ? Étrange attitude de celui qui s’arrête en chemin sur un constat pour lequel il n’était franchement nul besoin de commissionner une quelconque étude pour le tirer.
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