Novembre 1970 : Sortie du premier véritable album solo de George Harrison, le triple "All Things Must Pass" (#4 UK-#1 US), produit par George Harrison et Phil Spector.
I'd have you anytime (Harrison-Dylan)
My sweet Lord (Harrison)
Wah-wah (Harrison)
Isn't it a pity-1 (Harrison)
What is life (Harrison)
If not for you (Dylan)
Behind that locked door (Harrison)
Let it down (Harrison)
Run of the mill (Harrison)
Beware of darkness (Harrison)
Apple scruffs (Harrison)
Ballad of sir Frankie Crisp (Harrison)
Awaiting on you all (Harrison)
All things must pass (Harrison)
I dig love (Harrison)
Art of dying (Harrison)
Isn't it a pity-2 (Harrison)
Hear me Lord (Harrison)
APPLE JAM :
Out of the blue (Harrison)
It's Johnny's birthday (Martin-Coulter)
Plug me in (Harrison)
I remember Jeep (Harrison)
Thanks for the pepperoni (Harrison)
Musiciens :
Guitares : George Harrison, Pete Drake, Dave Mason
Claviers : Gary Wright, Bobby Whitlock, Billy Preston, Gary Brooker
Basses : Klaus Voormann, Carl Radle
Batteries : Ringo Starr, Jim Gordon, Alan White
Cuivres : Bobby Keys, Jim Price
+
Le groupe Badfinger (guitare & percussions)
Crédités sur la réédition 2001:
John Lennon, ce qui semble évident vu la participation de musiciens liés au Plastic Ono Band comme Klaus Voormann ou Alan White.
Eric Clapton, idem que précédemment, vu la participation de son groupe de l'époque "The Dominos" (Whitlock, Radle & Gordon).
Peter Frampton (?)
Ginger Baker (?)
Phil Collins (?)
Un pur chef d'oeuvre, les deux premiers albums offrent les meilleurs chansons de George Harrison, une suite de titres exceptionnels et certaines chansons comme "What is life", "Isn't it a pity", "Beware of darkness", "Run of the mill" ou "All things must pass" sont particulièrement émouvantes.
Le sommet de sa carrière qu'il aura bien du mal à égaler.
Le troisième album peu indispensable, est un ensemble de jam-sessions plus ou moins improvisées et plus ou moins réussies entre Harrison et ses amis musiciens.
"It's Johnny's birthday" a été enregistré pour le 30e anniversaire de John Lennon.
Sortie aux Etats-Unis du single : “My sweet Lord (Harrison)/Isn't it a pity (Harrison)” (#1 US).
Si Harrison a parlé de l'influence de "Oh happy days" pour ce titre qui restera son plus grand succès, il semble avoir oublié "He's so fine" sur lequel ce titre semble avoir été copié.
Un long procès va naître, entachant quelque peu l'image de George Harrison.
Le single sortira en Angleterre en janvier 71 (#1 UK) avec "What is life (Harrison)" en face B alors que les USA sortiront un 2e single en février 1971 : "What is life (Harrison)/Apple scruffs (Harrison)" (#10 US).
© Pascal Schlaefli
Urba City
Août 2010
Petite dédicace amicale à la plus grande fan de George Harrison au monde, par contre je me souviens plus trop de son nom.....
Je crois que ça commençait par Clef........
........et pis que ça se terminait par Moustic........
J'ché plus !