S'il avait été entièrement instrumental, le récent album commis par Roméo Dika serait très probablement un chef-d'œuvre. Comme l'artiste a su le montrer depuis plus de deux décennies, il est en effet difficile d'en redire sur le travail de fond qu'il a, une fois encore, abattu en studio. A plusieurs égards, l'auteur du «Mari de ma femme» conserve intact son doigté en matière d'arrangements. Difficile aussi, de le prendre à défaut sur le casting de ses musiciens. Empereur Nguebo, Jimmy Eitel
Lire la suite...