Vu de l'extérieur, la Pomme semble en effet avoir une politique restrictive, notamment en matière d'applications sur son iTunes store. Plusieurs cas d'entreprises bannies ont été rapportés, car elles développaient des logiciels qui concurrençaient les propres fonctionnalités de la marque à la pomme. Autre règle qui pourrait être au coeur de l'enquête : le bannissement d'applications qui pourraient directement concurrencer l'iTunes Store, ce qu'Apple ne veut surtout pas autoriser.
Pour sa défense, Apple clame que son seul intérêt réside dans la préservation de la qualité et de la simplicité pour les utilisateurs. Ce sera à la Commission et à la FTC de décider du bien-fondé de ces arguments, et de trancher pour savoir si cela constitue une mise à mal de la compétition. La situation devrait être plus claire d'ici à six mois.