Quand on veut se la jouer en fanfare et jouer dans la cour des grands, il faut à la fois posséder quelques roupies en réserve et quelques doses de bon sens. A défaut on s’expose à devoir s’expliquer au pénal.
La billetterie carougeoise a manifestement pêché par grave manque de jugeote et ce qu’on annonçait ici comme très probable le 1er août 2010 lui arrive.
Il ne lui reste plus qu’à payer au plus vite, sauf en plus à devoir déposer le bilan rapidement, vu les sommes expédiées dans la nature et qu’on ne reverra jamais.
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