Aujourd’hui, j’ai dit à la boulangère : « dites donc, c’est bien beau votre boutique après les travaux ». Elle était tellement contente qu’elle m’a montré tout ce qui avait changé. « Là on a changé l’organisation, là on a agrandi, la on a repeint en vert d’eau ».
La vérité, je m’en cognais un peu de la brique apparente, vu qu’il était presque 15h et que je n’avais rien avalé depuis le matin.
Niveau mode, à MonPetitBoulot, on n’a pas énormément de marge. J’ai pas encore osé le t-shit imprimé, alors la marinière, c’est pas pour tout de suite.
La marinière, tsé, j’en porte depuis des années. Je n’ai pas attendu que ca (re) (re) (re)vienne à la mode.
Mais ce qui me meut, c’est qu’avec toute cette manutention, déballage de carton, cintrage de vêtements, mise en rayon, aspirateur et serpillère, ca me nique le vernis.
Le 505 et le boulot, c’est incompatible.
Une minute de silence, please, il faut que je fasse mon deuil.