C'était en Aout 2007 au congres du Medef, Sarkozy affirmait :
"L'administration a parfaitement raison de poursuivre le fraudeur, mais l'entrepreneur, le salarié, le consommateur n'est pas par principe un fraudeur.Que l'on soit très sévère avec le fraudeur et le malhonnête, mais que l'on n'empoisonne pas la vie de celui qui veut défendre son entreprise[...]"
Quelques mois plus tard, en Déc. 2007 devant l'Assemblée des entrepreneurs CGPME, Sarkozy réaffirmait :
"L'administration ne doit pas voir le chef d'entreprise comme un fraudeur en puissance, mais comme un contribuable honnête a priori[...]"
Aujourd'hui, nous constatons que plus de deux tiers des entreprises ont été redressés