Cette concertation va se poursuivre à plusieurs niveaux. Après celle du 4 août dernier, certains opérateurs interrogés le weeke-end ont indiqué, sous le couvert de l’anonymat, que l’Etat congolais est responsable de la situation de la sécurité aérienne.
Il importe donc, estiment-ils, que l’Etat prenne conscience pour que les exigences internationales en la matière soient d’application. C’est le seul moyen de redonner la confiance aux aéronefs des compagnies congolaises vis-à-vis de l’Organisation internationale de l’aviation civile.
De son côté, le directeur général de l’Autorité de l’aviation civile, Richard Nyangwile Kansa, rassure.
Toutes les mesures d’application de la loi réglementant le transport aérien en RDC sont prêtes. Il ne reste plus qu’elle soit votée au parlement et promulguée par le président de la République.
Et cela, a-t-il laissé entendre, peut se faire en moins d’une année.