Salut les copains,
Je vous aurais bien proposé d’aller boire du Pschitt en écoutant Françoise Hardy sur la plage ce soir, mais je suis coincée dans la cuvette jusqu’au passage à l’heure d’hiver et même au-delà.
Après une semaine, j’ai enfin identifié le drame de la vendeuse : le mal de dos. À force de piétiner toute la journée dans le magasin sans s’asseoir, je fais finir avec des gros mollets, c’est sûr.
Donc je demande instamment que tous les masseurs-pétrisseurs se trouvant sur une ligne Paris-Grenoble de se dévouer pour me remettre tout ça en place.
(la cuvette dont je parlais plus haut n’est bien sûr pas celle du fond du couloir à droite, andouille).