A "cloche-vie",
sur cette marelle,
j'ai perdu pied,
pas trouver le bon galet,
pour atteindre ton ciel,
ni la bonne clé,
pour gagner ton paradis.
J'obeis, sans faire d'histoires,
à tous tes jeux, volontaire,
sauf à collin-maillard,
car cela m'enpécherais de te voir.
Je veux profiter de chaque moment,
ne rien faire à cache-cache,
vivre tout les yeux grands ouverts,
même s'il y a des gens que cela fâche.
Mais on aurait du se méfier,
des messses basses,
qui sous le secret du préau,
ont envoyer notre amour à la casse,
il y à toujours des gens pour envier,
ce qui est beau.
Et dans cette cour de récré,
de jouer, j'ai perdu l'envie,
et à cloche-pied,
sur cette marelle,
je reste là, interdit,
par la cruauté,
du monde réel,
et c'est à cet instant t,
que j'ai grandi,
et que pour moi, le jeu c'est fini.
PAEPEGAEY Michel