Le Piafawan
J’aurais pu me présenter ainsi en déboulant sur Twitter. Une façon comme une autre pour tenter de faire entendre sa petits voix dans cette mer déchainée de tweets amoureux, furieux, belliqueux, et j’en passe.
Bref, lorsque que j’ai pousse mon premier Tweet, bah y’avait même pas un sage-tweet pour l’entendre. J’étais un peu tout seul dans le grande salle. Et là, forcément, grand moment de solitude. C’est quoi ce merdier ?! Qu’est-ce que je fou là au fait ?
J’ai bien faillis prendre mon tweet, mes clac et me faire la belle à tire d’ailes. Mais allez donc savoir pourquoi, je suis rester là. Tranquille, pépère dans mon petit nid douillet (traduisez mon bureau), et j’ai donc commencer à chercher quelques volatiles à suivre.