Sitαlφα : poème "Aux yeux de feu..."

Hiro de Soledad
Se lève aux Aurores et se couchent avec les loups.
Dompte son instinct animal et se cache parmi vous.
Nul ne sait ce qu'il est ou sera,
Nul ne sait ce qu'au fond il chercha.
Un soir de pleine lune Son sommeil s'est enfuit,

Et cacher là parmi les enfants de la nuit,
ses pupilles assombrit et dilatées dans l'oublie,
Hiro de Soledad commença à combattre le dénis...

L'âme du loup quêtant la liberté,
Dans son enveloppe charnelle restera longtemps enfermée.

Il n'y eu pas de malheurs plus obscure que celui de la pénitence.
Pour une âme d'artiste enragée tendrement bercée de souffrance...
Hiro de Soledad trouva sa voie dans l'erreur.

Il perdit l'espoir pour commencer à vivre.

Le loup aux yeux de feu qui lui déchire l'intérieur

Ne s'abstient pas de torturer son corps tentant de survivre.

Beaucoup le dise dur et sans coeur,

Car ils n'ont de regard sur l'intérieur.

Il donne sa douceur avec passion,
Dans le secret et par conviction...
Mais son regard préviendras en amont des problèmes,
Tout quêteur de haine démunis de courage.
Son regard glaceras le sang du lâche,
Et fera frémir l'inconscient.
Qui dans un élan de folie,

Tentera de prendre à ses amis leur vie,

S'emparer de leurs peur, ou de leurs envies....
Qui en posant son regard sur eux,

Le pose également sur lui...

Son âme est composé d'un mélange explosif,
Que jusqu'ici personne n'a su désamorcer.
Un grand bocal de haine, versé dans de la rage.
Baignant dans un bain d'amour et de solitude,
Saupoudré de tendresse et de déceptions...
Il n'y a pas d'enfant plus tumultueux que celui dont l'âme ne quête pas les cieux....