Essaouira se présente d'ordinaire éclatante, clinquante sous le soleil, ainsi que je l'avais montrée dans le montage intitulé Symphonie d'Essaouira : en bleu et blanc. Par contraste, j'aime beaucoup les photos qu'a prises Gil Serpereau de nuit et par brouillard. Il s'en dégage une poésie certaine. Mais je ne suis pas sûr que l'office du tourisme local utilisera ces instantanés pour sa pub... Il ne me déplaît pas de les publier alors que l'ancienne Mogador vit en ce moment un rush touristique majeur, créant surpeuplement, excès sonores et inflation des prix, d'après les infos que j'ai reçues hier soir d'Omar (voir ).
A gauche et au centre, le fort portugais (voir Essaouira, la révélation) apparaît telle une sentinelle dans le smog londonien... Il n'y manque plus que Jack l'Eventreur. A droite,
Jimi Hendrix : réalité et légende de son trip à Essaouira Il n'est pas interdit de cliquer sur les photos pour les agrandir.