Avant d’abandonner ce blog quelques jours pour partir en vacances bien méritées, je vous propose une petite critique du dernier bouquin que j’ai lu : La revanche des Spellman de Lisa Lutz. Il s’agit ici du 3e opus mettant en scène la famille des Spellman, et je dois dire que j’attends toujours avec une grande impatience ces romans tellement ils sont frais, bien écrits et furieusement drôles ! Une lecture idéale pour l’été, comme pour tout le reste de l’année d’ailleurs.
Et ça parle de quoi sinon ?
Sans vous raconter toute l’histoire de long en large, c’est beaucoup mieux de garder une part de mystère, cette série de bouquins parle de la famille Spellman, une famille de dingos qui sont détectives privés ! Les livres sont donc toujours l’occasion d’une « enquête » plus ou moins farfelue, et pas du tout essentielle bien souvent. L’intérêt principal résidant dans les personnages de la série, tous très attachants et très bien écrits.
L’héroine des bouquins est la fille ainée de la famille Spellman, c’est donc à travers son regard qu’on évolue dans le livre et dans le temps. Toujours avec beaucoup d’humour, Isabel commente son quotidien, nous fait partager ses pensées… D’ailleurs elle s’exprime souvent dans les notes de bas de page, ce qui est très très sympathique.
Ok et ça se lit dans quel ordre ?
Même si on peut lire les bouquins dans n’importe quel ordre, c’est vraiment plus agréable dans le bon sens, histoire de se familiariser avec les personnages et leurs histoires, et de les voir évoluer. De même, les bouquins font souvent référence au précédent. L’ordre est donc le suivent :
1. Spellman & Associés
2. Les Spellman se déchaînent
3. La revanche des Spellman
Je ne vais pas vous en dire plus sur ces bouquins, sauf que vraiment ce sont des coups de coeur pour moi et que je pense qu’il est difficile d’y rester insensible. C’est un savant mélange de Bridget Jones (version livresque) et Monk (pour le côté enquêtes sans prise de tête). Les livres sont très bien écrits et plairont je pense tout spécialement à un public féminin, mais pas que. Et ce n’est absolument pas de la « chick-litt’ », même si ça peut y ressembler.