Pourquoi activer? Car il y a certes de la chance mais aussi une grande responsabilité de notre part, en construisant nos projets professionnels et dans l'attitude.
Il y a cette expression, souvent utilisée par Guy Kawasaki, à laquelle j'ai tout de suite accroché : le schmoozing. On entend souvent dire qu'il faut donner avant de recevoir, mais cela ne nous met pas à l'abri des formes de réciprocités forcées.
L'ouverture et la générosité vont plus loin que cela. Vraiment vouloir donner ce quelque chose à l'autre et ne pas faire de calcul pour développer sa propre notoriété, influence ou divers.
Nous parlons d'attitude, celle de l'écoute et de la compréhension de la position de son interlocuteur. Si le challenge est intéressant, les solutions cohérentes et le respect mutuel, pourquoi ne pas penser à formaliser une collaboration? Ce jeu d'interaction doit être un plaisir.
Si l'on observe bien le positionnement ici, le candidat interviendrait avant que le besoin soit *vraiment* identifié et participerait à son émergence (ou à sa clarification selon l'avancement).
Doit-on en conclure que le marché de l'emploi actuel récompenserait encore plus l'engagement, la proactivité et la créativité?
Il y avait aussi ce livre que je lisais intitulé "Never Cold Call Again" ("Fini la téléprospection") et qui coïncidait avec une des mes expériences étudiantes en télémarketing. Il y avait ce concept d'égal hiérarchique qui était très intéressant, qui partait du principe que les personnes (les décideurs pour notre cas) préfèrent traiter avec leur business equal.
Dur de se mettre dans cette position lorsqu'on n'a pas le titre. OK, mais cela n'empêche pas d'avoir une conversation originale et importante sur des challenges à venir; car face à l'incertitude, les bonnes idées sont à prendre.
En tant que candidat, êtes-vous en train d'attendre et/ou de réclamer un poste ou bien de créer une opportunité pour ensuite la développer ?