Retour vers le plus dur! Return for the future!- 3/3

Publié le 07 août 2010 par Bob37
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Retour vers le plus dur! Return for the future!- 3/3

- Vers 9 heures, je prends un taxi qui vient avec moi chercher mes bagages à la gare de train et m’attend pour aller à l’aéroport.

- Pour pigmenter l’affaire j’ai perdu mon billet de vestiaire, j’ai la bonne idée de lui dire que mon billet d’avion et dans mon sac et qu’il peut comparer avec le nom sur mon passeport. Tout marche comme sur des roulettes.

- Le taxi m’amène, vers l’aéroport il essaie, m’amener faire un tour au massage érotique. “Ça ne prend pas de temps, je vais t’attendre. C’est sur notre route, paie-moi juste un petit quelque chose à bouffer. Va t’arranger ça le deal moi, 2500 bahts (80 $) avec la chambre et tout. Non pas vraiment j’ai une blonde puis je n’ai pas vraiment le temps. Une offre ben banale dans un taxi de Bangkok dépliant couleur à l’appui.

- Il est 9:30 p.m, mon avion est à 5:40 am demain. 8 heures 25 d’attente à l’aéroport. Par chance ici les prix sont accessibles. J’achète quelques bières à 1.50 $ chacune qu’on peut boire à notre guise un peu partout.

- Je fais de belles rencontres de gens de partout des Koweïtiens, des Iraniens, des Chinois, des israéliens.. Tout souriant, enjoué et encore sous le charme de l’exotique Thaïlande.

- Bon c’est l’heure je me couche sur un banc de métal avec mon sac à dos comme oreiller.

- Je me réveille juste à temps pour l’heure de l’embarquement

- C’est la première fois des mes trois visites qu’on procède a une fouille sommaire de mes bagages a main et fouille au corps en Thaïlande avant de me rendre au quaie d’embarquement

- J’ai pas eu le choix de la compagnie d’aviation, Delta Airline c’est correct, mais sans plus, pas de gratuité.

- En route vers Tokyo dans un 747, je me réveille avec mon repas en face de moi, oeuf saucisse et fruit rien d’extra, mais tout de même avalable

- Oublier la bière et le vin a 7 $ la consommation on va boire : café,pepsi, eau et thé

- Enfin le japon et sa campagne Narita rien de l’idée qu’on se fait d’une mégapole comme Tokyo.

- Contrôle douanier très rapide et courtois, loin de celui de l’oncle sam.

- Je vais dans le fumoir, un des derniers aéroports où l’on peut même boire une bière et fumer en même temps. Dommage pas de yen (argent) pas de bière.

- Dans l’avion, pas d’écran de TV personnel et le système audio-vidéo fonctionne mal.

- Je dors et je me réveille pour commander du café et manger mes repas.

- Le voyage est interminable. On se dit on doit être près d’arriver, mais non il nous reste encore 7 heures de vol. On se rendort.

- On atterrit enfin à Detroit (Rock City) États-Unis d’Amérique.

- Les douanes américaines toujours “l’enfer”. Je ne m’attends pas à une partie de plaisir.

- Le douanier regarde mon passeport et ne comprends rien, Laos, Thaïlande, Laos, quel était le motif de votre voyage? Quel est votre métier? Webmestre quel genre de site web? Des sites web corporatifs il me matraque de question en rafale…

- Il remplit une série de texte dans l’ordinateur tout en consultant mon passeport! Ça commence a sentir mauvais…avez-vous un billet de retour je lui montre mon billet vers Québec.

- Il prend mes empreintes de doigts, il prend ma photo comme tous les voyageurs et étampe mes documents avec hésitation.

- Il me dit d’attendre, bon encore le stress des contrôles resserré.

- Attendez ici! Un immense agent des douanes américaines vient me prendre pour me faire traverser une barrière près des machines de fouille et me dit de rester debout sur un tapis de caoutchouc.

- Ils ont décidé de faire sortir mes bagages de l’avion, il m’accompagne pour identifier mon sac et le ramener pour un contrôle.

- Je ne panique pas outre mesure mais c’est juste stressant d’être jugé potentiellement à risque.

- On fouille mon sac et me pose bien des questions tout en restant polie. Je leur dis vous pouvez chercher comme vous voulez, mais il n’y a absolument rien là dedans d’excitant.

- Je parcours l’immense aéroport de Detroit vers ma plateforme de départ vers Québec 1 km plus loin.

- Je m’informe si je peux avoir un vol avant celui de 20 h, il est un peu dépassé les 14 h, non malheureusement Monsieur c’est le seul vol!

- je rebrousse chemin pour aller fumer une cigarette dehors. Je vais en fumer juste une parce qu’on doit se taper 2 contrôles, enlever ses chaussures et démontrer patte blanche juste pour cette mauvaise habitude.

- Je croise un Macdonald’s. humm! Des burgers je m’en tape 3 en un temps record. 6 mois sans burger, difficile d’y résister même si c’est de la merde… pour l’instant c’est de la bonne merde

- Je cherche un connections internet, pas moyen d’en trouver une. Tout le monde a son portable, son iPad ou son iPhone à la main. Il y a juste moi de tout nu qui n’y a pas accès.

- Je m’excuse auprès de tous, surtout toi Pearlyn mais tu auras des nouvelles de Québec.

- Je dors sur le plancher en attendant mon dernier avion.

- On atterrit enfin à Québec, les douanes canadiennes surement les pires au monde.

- on me pose quelques questions sans trop insister, pourrais-je entrer dans mon pays sans passer par la chambre de fouille la prochaine fois!

- C’est peine perdue le policier regarde ma carte de déclaration et me fait signe d’attendre, bon encore un putain de contrôle

- On m’amène dans la salle de fouilles. je dis faites ça vite les douanes américaines m’ont déjà fouillé au complet à 2 reprise.

- Passer votre truc pour la drogue puis le reste il n’y a rien à trouver. Je ne voyage pas pour ramener de la drogue et croupir en prison.

- On a de la misère à croire que je ne rapporte que pour 70 $ en 6 mois. Je voyage pour grandir comprendre le monde à ma façon et m’enrichir de la culture des pays que je visite.

-le contrôle se passe bien les douaniers sont sympathique. Ils sont intéressés par mon histoire et me laissent partir avec bon retour chez vous….

- il est 21:30, une fois sorti dehors. J’entends Bobby! Mon associer est là pour me prendre. Oui tout va rondement, une accolade et on est partie vers ma ville.

-as-tu faim disons que les douanes m’ont coupé l’appétit, mais une poutine(junk food de mon bled) Ashton ça ne se refuse pas!

En hommage à tous ses personnes exceptionnelles et ses paysages inoubliables qui m’appellent encore et pour toujours

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