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Compte-rendu repas en commun

Publié le 06 août 2010 par Tripuniforme

Le compte-rendu de ma soirée de mercredi : bonne lecture.

Mercredi soir, il y avait le repas en commun au centre de vacances où je travaille. Je n’y avais pas participé au mois de juillet, c’était le jeudi soir, mon jour de repos … Ces derniers jours, j’ai sympathisé avec certaines familles. Vous qui me lisez, et me connaissez, vous savez que j’aime discuter et partager avec les bénéficiaires. Des affinités se créent avec certains bénéficiaires, et cela m’a motivé pour passer de bons moments sur mon lieu de travail !

En début de semaine, j’avais rencontré un bénéficiaire, je lisais tranquille au bar, il m’a proposé de boire un coup avec ses amis, et c’est tout naturellement que j’ai accepté en milieu d’après midi, des liens se sont créés peu à peu. J’en reviens à mon compte-rendu …

Les tables étaient placées au centre du « village » avec des bancs, il manquait les bénéficiaires. En juillet, je n’avais pas ressenti l’envie d’y participer, mais là j’avais envie de faire la fête. Pour mon ami B&R : le menu : salade composée, paella, et buffets de desserts…

J’ai fini à 19h00, ai été me changer (short et tee shirt de rigueur… même si en fin de soirée j’ai mis la veste de survêtement, la nuit vient plus vite, et le vent était « frais »). Je savais que les bénéficiaires s’étaient inscrits au repas… c’est tout naturellement, quand j’ai vu un couple près d’une table que j’ai demandé « je peux prendre le repas en votre compagnie » … on m’a répondu « bien sûr » … même si une table était « réservée » pour le personnel.

A ma droite, 2 couples, et à ma gauche 3 couples. Plus de 300 personnes (personnel compris) étaient présentes ! Je me suis assis, et j’ai discuté avec les personnes assises à côté de moi, c’est une relation autre « travail » et là décontracté, en dehors de mes heures de travail (même si par nature, je suis décontracté au travail, et je fais un « accueil et service » personnalisés). J’en connaissais certains par leurs prénoms, j’ai fait connaissance ce soir là de façon plus personnelle avec certaines épouses (je vous vois venir sur ce coup là, je sais me tenir, quand même !). C’est naturellement qu’on m’a proposé de partager leur apéritif. La table s’est remplie avec les 3 autres couples à ma gauche. J’étais dans mon élément, et assuré de passer « du bon temps » (il est rare, et jusqu’à présent je n’ai pas « su » le prendre).

Je ne vais pas donner les détails, Nous avons fait la queue pour aller prendre entrée, plat et dessert. Vous me connaissez, n’est ce pas ? Mon voisin de table, F., m’a dit «  je t’invite à danser » pour me dire «  tu viens sur la piste », une sono était installée, et un espace était aménagé en « piste de danse » avec le bar à côté. J’ai bien sûr dit oui. La piste s’est remplie petit à petit. Ce n’était pas vraiment la musique que j’aime le plus (latino, mais ça bougeait pas mal, on a eu droit à La Macarena, et à d’autres titres du genre). J’ai fait les allers et retours de la piste, à ma place à table. J’ai apprécié les échanges avec les bénéficiaires, et je passais vraiment un bon moment. Je me suis éclaté vraiment sur la musique « dance », Lolo s’est trémoussé (comme je sais si bien le faire, sourire, voir mes comptes-rendus précédents). Comme quoi on peut travailler à l’accueil et pendant ses heures de repos s’éclater. Je suis monté sur un estrade avec des jeunes, avec mes voisins de droite (baraqués comme des rugbymen, moi qui suis petit gabarit…, sourire) et pour finir j’étais avec les femmes, à la demande… je me suis pris au jeu… il ne m’en n’a pas fallu beaucoup, je passais vraiment un bon moment. L’ambiance était là, il était plus de minuit (horaire maxi pour la musique …). Ca s’est terminé d’une drôle (ce n’est pas le mot) de façon : le responsable du centre de vacances a arrêté la musique, il y a eu des plaintes, et ce sont les gendarmes qui sont venus demander d’arrêter le bruit ( !). J’étais sur la piste (je peux le dire) : nous nous amusions, quel dommage, tout arrêter, et comme ça en plus. Je n’ai pas vu les gendarmes (ils sont juste restés à l’entrée du centre vacances qui n’était pas dans ma ligne de vue, et de plus j’étais sur la piste : occupé à autre chose !)

En conclusion : un très bon moment (et le mot est faible) : en écrivant cet article (jeudi matin) j’ai encore la tête pleine de tous ces petits moments. Merci à tous et toutes pour votre sympathie et bonne humeur. A bientôt pour de nouvelles aventures !


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