La France s'éveille à l'Echangisme...

Au XVIII, la France connu son siècle Libertin...depuis la bonne vielle conscience judéo-chrétienne a transformé le Libertinage en maladie honteuse. Toujours libertaire dans l'âme, une étude nous a  particulièrement titillée, autour de la problématique des Français et l'Echangisme.

Voici les chiffres clés de l'étude IFOP pour Netechangisme.com sur l'Echangisme et le Triolisme, en France.

I La Tribu des Échangistes (pratiquants et aspirants).

A/Les Pratiquants : 7% de la population française a déjà pratiqué l’échangisme.

L'échangisme est vu comme bénéfique à la vie du couple s'il est occasionnel. Il a un fort pouvoir érotique car il est associé à la prise de risque.
B/Les Curieux : Une proportion beaucoup plus importante s’y est intéressée,  30% pour les hommes et 15% pour les femmes.
Profil-type : un couple ou une personne de 31 à 50 ans (73 %), qui pratique l’échangisme depuis 1 à 5 ans (64 %) et qui a commencé à un âge compris entre 20 et 40 ans (78%).

II. Vers une relative démocratisation de l' Echangisme ?

L’échangisme est vu comme un moyen légitime de trouver la plénitude, du plaisir. Sa réputation sulfureuse s’estompe peu à peu.

Il est devenu un objet de consommation presque comme les autres, une « animation supplémentaire ». Le développement des sites spécialisés attire les jeunes hommes (55% des hommes de moins de 35 ans) et les jeunes femmes (49% des de moins de 35 ans), notamment en Région parisienne (49%).

De même, l’attraction de ces sites est particulièrement forte dans les catégories populaires (52% chez les CSP-) et intermédiaires (43%).
III. Les Pratiques des Echangistes

Interrogés plus spécifiquement sur leurs expériences, les libertins déclarent ne pratiquer qu’occasionnellement les relations à plusieurs avec leur partenaire habituel. En effet, seul un quart (27%) pratique l’échangisme au moins une fois par mois, les autres ayant ces expériences quelques fois par an (16%), voire moins souvent (57%).

Fidélité : la multi-sexualité dans le cadre conjugal constitue donc un moyen de raviver le désir et l’excitation. 55 % des sondés estiment aussi que le libertinage a un impact positif sur le fidélité et la pérennité de leur couple.