Ca y est, l'est fini la montagne, enfin le pavé, enfin le truc... Le dernier tome de Twilight. Alors très sincèrement, je n'en tire que peu de conclusions :
1° on peut survivre, mine de rien, c'est une info capitale
2° on ne retient pas grand chose du bouquin, encore moins que ceux d'avant et y a encore moins d'action que dans ceux d'avant
3° Meyer, grosse menteuse...
Donc de ce livre, jusqu'à la 600e page, je n'ai rien retenu. Si ce n'est qu'il y a des vampires, des loups-garous et des bébés. Arrivée aux 4/5 du livre, je m'attendais à -enfin- lire un peu d'action. Au lieu de ça, j'ai lu un mauvais remake de la Reine des Damnés.
Ca commence par la réunion des vampires venus des quatre coins du monde, réunion ayant pour but de contrer les méchants vampires. Bon, ça ressemble, mais c'est tellement basique comme histoire que ça peut être une simple coïncidence.
Ensuite, les vampires viennent de toutes les régions du monde, de l'Irlande à l'Italie, en passant par l'Amazonie et l'Egypte. Oui, mais ce sont des coins assez fréquent quand il s'agit de littérature fantastique... Non ?
Sauf que les vampires d'Amazonie sont des soeurs... vêtues de peaux de bêtes... avec de longs cheveux noirs. Heu... là, ça devient un peu plus pas très une coïncidence, et il manquerait plus que le prénom des vampires commencent par un "M".
Mais le pire, le PIRE! c'est quand les vampires transylvaniens (oui...) expliquent qu'à force de méditer sur leurs nouveaux pouvoirs et leur condition de maîtres-du-monde, assis sur leurs trônes, les dits-vampires ont commencé à se transformer en statues... sur leurs trônes... des vampires... en statues... Un peu voire beaucoup comme Akasha et Enkil.
Sauf que dans Twilight, l'action se résume à "je cours quand même vachement vite, même avec des escarpins, maintenant que je suis une vampirette!". Intense. Dire que si il n'y avait pas eu cette ressemblance avec Anne Rice, c'est tout ce que j'aurais retenu du livre...
Lo, survivor