JE VOUDRAIS TE RETROUVER dans le vallon
Près des chemins du jardin où l’on peut
Dire des prières. J’ai beaucoup changé
Mon cœur s’ouvre. Et ton fameux visage
Serait le doux, le même, le vrai comme autrefois.
— La mort, répond le vent magnifique des tombes.
(Pierre Jean Jouve)
Illustration: Anne-François-Louis Janmot