LA CELLULE DE MOI-MÊME emplie d’étonnement
La muraille peinte à la chaux de mon secret
J’ouvre la porte avec ma main vide
Un peu de sang blessé dans la paume
(Pierre Jean Jouve)
LA CELLULE DE MOI-MÊME emplie d’étonnement
La muraille peinte à la chaux de mon secret
J’ouvre la porte avec ma main vide
Un peu de sang blessé dans la paume
(Pierre Jean Jouve)