Une famille de « Bienvenue dans ma tribu » très en colère

On apprend dans le nouveau numéro de Télé Loisir qu’une famille de l’émission « Bienvenue dans ma tribu » serait très en colère contre TF1 et la production.

La mère de famille s’explique « A la base, je suis tombée sur une petite annonce parue dans un journal gratuit et, après e, avoir parlé avec nos enfants, on a décidé de tenter cette aventure. On ne savait rien, ni de la destination, ni de ce qui nous attendait. Nous n’avions jamais voyagé avec le sac à dos, et la destination la plus exceptionnelles que nous ayons faite, c’est l’Algérie. C’est dire… » Jusque là, pas de problème.

« Au début, nous sommes restés très émus en les découvrant, mais ça, évidemment, la production ne l’a pas montré. Il n’y a pas de caméras quand ce n’est pas diffamatoire! Mais très vite, on se rend compte que c’est très bouillasseux, ils crachent beaucoup par terre et, surtout, on nous demande de nous séparer de nos enfant. Impossible. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’on nous a envoyés là-bas. Je n’allais pas laisser mes enfants à des gens que je ne connaissais pas.

S’ajoutent les problèmes de nourriture. On a goûté le premier jour leur repas, mais le lendemain, ils nous donnent la même chose. Je commençais à me dire que je mettais la vie de mes enfants en danger. Donc, nous avons eu des explications avec Nadiou (le chef de la tribu), mais nous n’avions pas conscience de le blesser. Il faut nous comprendre: nous vivons avec un certain confort d’Européen. Eux, n’ont rien. C’est d’ailleurs une belle leçon de vie.! »

Le constat est clair pour la famille parisienne « Mon mari et moi avons vraiment le sentiment de nous être fait flouer. Cette émission est parfois traficotée. Alors, quand je lis sur les forums Internet que nous sommes racistes, c’est n’importe quoi! On ne part pas avec ses enfants dans un pays inconnu si on est raciste. Il faudrait être masochiste. On a compris sur place que les caméras nous étaient hostiles: les journalistes me posaient souvent des questions orientées de telle façon que je précisais dans ma réponse que nous étions des français. Aujourd’hui, je suis très en colère.»

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