Je pose ma main enduie de velour,
sur ton coeur recouvert de givre,
Qui s'abrite derriére se petit minois,
un pont chancelant entre nos rives,
Ton regard se meurent à l'horizon,
un brouillard perdurent,
la pluie descend sur les flancs,
La béte encaisse les déchirurent...
Sont parfum imprégne le tissu,
il tempére mes nerfs volcanique,
Mes chair à vif semble recousu,
à genoux sur la piste de sont cirque..
Je donne la pate fidélement,
à cette ombre féline,
apeuré par l'idée de changement,
Les doutes m'envenime...