Pendant ce temps, la soeur de la putative première dame de France fait la promo de son film, la "soeur de Carla Bruni invitée au Petit Journal de Canal", je l'ai entendu tel quel, ça n'a pas traîné qu'elle ne soit plus que la soeur de...
La franco-italienne Valeria Tedeschi-Bruni, la nouvelle bell's de Sarkoléon 1er, comme Roger Hanin était le beauf du pélerin en chef de Latché, sort "Actrices" le 26 décembre au lendemain du miracle de Noël, cette fête mercantile qui met en valeur comme personne la rupture entre deux catégories de figurants, ceux qui s'empiffrent à s'en rendre malades ou qui chipotent sur le foie gras pour ne pas grossir, et ceux qui dorment dans la rue en priant que la température remonte, qu'on accepte leur chien dans les refuges.
Un film présenté à la section Un Certain Regard à Cannes... Un récit autofictionnel sur les angoisses existentielles de la femme actrice quarantenaire pas mariée, sans enfant (elle pourrait épouser Henri Gaino, non? Il lui écrirait ses scénarios) Mais on s'en fout des névroses de Valeria, non? Et le film "Actrices", on pourrait bien le boycotter, pour cause d'une indigestion de saga Bruni à la Une, parce que la vie est injuste...
En attendant de replonger dans les gratouillage de plaies narcissiques plus ou moins talentueux qui caractérisent désormais la plupart des scénarios des films français, une bouffée d'oxygène pour demain mercredi 19 décembre "La Visite de la fanfare" d'Erin Korilin, le contraire d'un film frime ou prise de tête, un film avec de bons sentiments, de l'humour, de l'émotion, l'espoir d'un monde réconcilié par la musique... A recommander vivement. Lire la critique du film...
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Joyeux Noël avec mes voeux de DVD sous le sapin!