How to make it in america
[1x03]- Paper, denim + dollars & [1x04]- Unhappy birthday
-oO° Music °Oo-
[1x03]
"Ring the alarm" de Tenor Saw
"Soul time" de Shirley Ellis
"The yellow brick road song" de Iyeoka
"Get by (instrumental" de Talib Kwelli
"F what you like" de A.R.E. Weapons
"Soul of a man" de Beck
"Shake shake shake" de White Denim
"This land is your land" de Sharon Jones and the Dap Kings
[1x04]
"Pain in my heart" de Otis Redding
"Birthday sex" de Jeremih
"Gucci time" de Schooly D
"All night long" de Mary Jane Girls
"Deja vu" de Lord Tariq et Peter Gunz
"Don't look any further" de Dennis Edwards
"Love TKO" de Teddy Pendergrass
Encore une fois, il ne se passe finalement pas grand chose dans ces 2 épisodes, mais ça n'empêche qu'on ne s'ennuie pas à suivre les galères de Ben et Cam et leurs escapades dans New York. J'ai été surprise de voir que Rachel et René étaient en fait des personnages récurrents de la série. Je voyais Rachel comme l'ex dont Ben n'arrive pas à oublier mais je ne pensais pas qu'on suivrait aussi une partie de sa vie. Les vies de ces deux-là restent encore très liées l'une à l'autre mais j'espère qu'ils ne se retrouveront pas à la fin. Même si on sent qu'ils ont encore beaucoup de sentiments l'un envers l'autre, c'est la fin qu'on attends et qui se révèlerait la plus facile mais aussi la plus décevante. Je préfère les voir se tourner autour jusqu'à ce qu'ils arrivent à définitivement tirer un trait sur leur relation. Par contre, je suis curieuse de savoir ce qui y a mis un terme puisqu'ils semble en assez bon terme tout de même. Et même s'il est pas dur de deviner que c'est elle qui en est à l'origine, j'aimerais qu'on explore un peu plus cette question à l'avenir pour savoir où ça a foiré! Dans un tout autre registre, on a aussi le cousin de Cam, René fraichement sorti de prison. C'est l'archétype du petit mafieux de base qui prévoit son prochain coup à peine sorti de taule. Il n'a pas l'air très méchant même si Ben et Cam semblent en avoir une peur bleue, et semble être prêt à se remettre dans le droit chemin, mais je n'écarte pas l'hypothèse d'un petit crime par-ci par-là. Je ne trouve pas que sa présence au casting apporte grand chose à l'histoire et je ne suis pas sûre qu'on le verra beaucoup inter-agir avec les deux héros par la suite mais il a quand même sa place dans la storyline principale qui s'intéresse aux moyens de réussir aux Etats-Unis. Lui veut vendre sa boisson énergétique et semble bien décidé à y arriver. Peut-être est-il là pour montrer les différents aspects du chemin vers la réussite; alors que ben et Cam vivent de petits boulots et galèrent pour truover le moindre financement, René, lui n'hésite pas à faire ses jouer ses relations quitte à prendre 2 ou 3 raccourcis. Quelle est la méthode la plus efficace? L'avenir nous le dira.
Sinon, globalement, ces deux épisodes restent bien calme. Cette série-là ne repose pas du tout sur un quelconque suspense fil rouge qui nous tient en haleine à n'en plus pouvoir. On veut savoir si Cam et Ben finiront par lancer leur marque de vêtements certes, mais le chemin s'annonce quand même plutôt tranquille et les tracas auxquels ils font face n'ont, pour le moment, rien de bien extraordinaire. J'ai beaucoup aimé l'épisode 4 qui laisse un peu de côté l'intrigue "Crisp" pour se concentrer sur la relation entre les personnages. J'aime la complicité entre Cam, Ben et Domingo qui décident de sortir quand Ben a du mal à gérer l'anniversaire de Rachel. Kaplan, fait un peu tache dans le décor et Eddie Kaye Thomas joue, encore, très bien son rôle de boulet complètement à l'ouest mais je pense qu'au final, il peut très facilement s'intégrer à la joyeuse petite bande.