Citoyens,
Il est des soirs où les transports, le sérieux, les fumées de ces pays chantés et les photos dans la tête rappellent qu’au-delà des flux, de l’immédiateté, restent la force et l’insensé.
Déconnecté, loin. Déconnecté, loin, bis.
Comme ce Breathe, écouté sûrement des milliers de fois dans tous les coffee shops du monde, ouatés ou drogués, aseptisés ou rock, du monde entier.
10 ans ou presque déjà.
“I’m used to it by now”.