Elle est poussiéreuse. Bourdonnante. Dotée d’un décor fastueux comme toutes les vieilles citadelles de ces provinces. Comment s’y prendre pour la décrire ? Il faudrait être peintre pour restituer cet invraisemblable écheveau de matière qui la constitue entre brique et tournesol. Oui, seul un artiste saurait fixer sur la toile ce qui effraie et fascine en cet endroit : cette étrangeté, cette grâce de l’Inde, captive entre ruines et modernité.
Françoise Renaud, extrait de Old Delhi, à lire sur son tout nouveau blog, ici...