Alain Minc, un bouffon de la Sarkozie au cynisme nauséabond

Le terme “bouffon” employé dans ce titre est à remettre dans son contexte historique. L’ex-consultant de VGE s’avère bel et bien être l’histrion de l’actuel résident du palais de l’Elysée.
Que Alain Minc - l’icône française de l’ultralibéralisme décomplexé - défende corps et âme le président de la République n’a rien d’une nouvelle ; qu’il le divertisse en annonçant dans la presse “Oui, vive les grèves dans le privé !” ou encore “Il n’y aucun dialogue sur le partage de la valeur ajoutée” (Marianne du 15 au 21 décembre) a de quoi choquer.
Une rhétorique de mauvais goût pour cet homme de l’ombre, connu pour encaisser les chèques dans les CA de grandes entreprises depuis 1979 avant d’appeler à des plans sociaux. Le cynisme n’a-t-il pas ses limites dans un pays où la population se sert la ceinture chaque mois un peu plus depuis 7 ans ?

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