De nouvelles photos exclusives du Delanopolis. Les arbres parfaitement et totalement sains qui sont plantés sur le pourtour du stade vont être bientôt arrachés. Regardez-les bien avant qu'ils ne disparaissent, vous y verrez la vérité sur la politique écologique de la mairie de Paris. Il paraît même qu'une élue "verte" est adjointe aux espaces de la même couleur ! Ce doit être une blague ...
Et assistez aussi à la destruction de la tribune des années 1960, qui rendait hommage à l'architecture à hublots de celle des années 1920, rasée il y a deux semaines.
Rappelons à nouveau l'objectif de ce delano-vandalisme : refiler un stade tout neuf à Guazzini, qui ne servira qu'une dizaine de fois par an, pour un coût de plus de 200 millions d'euros à la charge des Parisiens alors que Charléty démontre en ce moment même qu'il pouvait accueillir le rugby du Stade Français.
Une autre vue des prochaines victimes en forme de requiem photographique.
Et aussi un dernier adieu à la tribune des années 1960.
Des témoins de ce vandalisme nous signalent une accélération du creusement du terrain et du déblaiement des gravats depuis quelques jours peut-être pour préparer les fondations, ce qui serait illégal, et le montage de hautes palissades pour cacher le chantier au public.
C'est beau, c'est émouvant, le socio-festivisme municipal ! D'après vous, qu'écriraient Mediapart, le Monde, Libé, le Nouvel Obs, Marianne, le Canard et autres, si Woerth avait fait de même avec un stade à Chantilly ?