Les dérives du métier vont en s’accentuant. Les repères se perdent. On commence à voir des complots partout, abrutissant davantage un peuple sensible. Halte! Commençons par faire notre auto-critique. Je trouve malheureux que la presse marocaine, qui a bien démarré avec le règne de Mohammed VI, sombre actuellement dans ces batailles de chiffonniers qui ôtent au métier sa noblesse. Nous avons besoin de revenir aux règles de base de la profession en terme de pertinence de l’information, son objectivité et son incidence sur le lectorat. Mais qui va piloter ce changement, vu les énormes intérêts de pouvoir qui traversent ce secteur?
Les dérives du métier vont en s’accentuant. Les repères se perdent. On commence à voir des complots partout, abrutissant davantage un peuple sensible. Halte! Commençons par faire notre auto-critique. Je trouve malheureux que la presse marocaine, qui a bien démarré avec le règne de Mohammed VI, sombre actuellement dans ces batailles de chiffonniers qui ôtent au métier sa noblesse. Nous avons besoin de revenir aux règles de base de la profession en terme de pertinence de l’information, son objectivité et son incidence sur le lectorat. Mais qui va piloter ce changement, vu les énormes intérêts de pouvoir qui traversent ce secteur?