Au delà du fait qu’elle a consacré pendant une longue période une politique d’abrutissement basée sur l’apprentissage par cœur, l’école ne dispose pas d’un cadre incitant nos étudiants à lire, à se documenter, à confronter les thèses et les idées et puis surtout à mener leurs investigations tous seuls pour arriver aux résultats.
Le discours qui consiste à dire que la lecture est une affaire personnelle est révolu. Nous devons sauver notre jeunesse montante. L’école est plus que jamais impliquée dans ce chantier.