Tenait en son bec un drôle ‘d’accrochage’
Maître Villepin, par la curiosité alléchée :
Lui tint à peu près ce langage :
Hé ! bonjour, monsieur le Sarko
Que vous êtes petit, mais que vous parlez haut !
Sans mentir, si tous vos beaux discours et votre ramage,
N’étaient pas là que pour farder, le‘capitalisme sauvage’,
Vous seriez des Français, le phénix de leurs Lois.
Mais à présent, tout le monde connaît votre mauvaise foi !
Car, si vos discours ont séduit lors des Présidentielles,
A ce jour, les résultats sont loin d’en être fidèles !
Tout ce que vous dites, bon orateur, vous le dites bien,
Mais de belles réalisations, quasiment rien !
Et de cela, vous, le Prince du Pouvoir d’Achat,
Vous vous en foutez, comme de l’An quarante !
Vous ne faites que favoriser les patrons du CAC 40,
Qui, le Peuple entier le sait, ne sont que..... scélérats !
Vous, Sarko le flambeur, le Président bling bling,
Vous n’aimez que les riches, à très grand standing !
Mais faites attention, en bas la plèbe gronde,
Vous ne pourrez plus très longtemps, tromper le Monde.
Et moi, foi de Galouzeau, j’y veillerai ;
Car les Français eux, savent bien que, moi, je parle vrai !
C’est d’ailleurs, pour cela que je vous fais grande peur,
Et que, par de vils procès, vous cherchez à m’éliminer !
Sans doute, là est la raison de l’affaire Clearstream
Sinon, cette embrouille, dite nous à quoi ....elle rime ?
Ainsi, votre hâblerie aidant, en 2012, je suis sûr de gagner !
A ces mots, le Sarko, fou de rage, et près de s’étouffer
Ouvre un large bec et laisse tomber son «croc de boucher»
Le Villepin, aussitôt s’en saisit et dit : « la rumeur avait raison,
Vous vouliez réellement, procéder à ma pendaison.
Alors, mon bon Monsieur, apprenez que si, tout flatteur,
Vit aux dépens de ceux qu’il trompe, mais qui l’écoutent,
La vérité, un jour éclate, et remet les pendules à heure,
Alors, des honteuses tromperies, se lèvent tous les doutes !
A présent, vos réformes fallacieuses et superflues,
Les Citoyens Français n’en voudront jamais plus !
C’est alors, que le Sarko, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu’il ne mentirais plus.