« J'ai toujours dit, et c'est ma version définitive, que je suis l'interprète et cela est reconnu par deux jugements » a expliqué le chanteur, ce matin sur Europe 1.
« L'information du journal Le Soir vient d'une interview privée. Au bout de trois jours d'interview j'ai dit à ce journaliste : "Je t'avoue ce que tu veux, mais je veux qu'on me foute la paix", sur le ton de l'ironie (...) Je ne changerai pas d'un iota ma version (...) C'est une phrase faite en off avec de l'humour, c'est de l'ironie pure et simple, j'en ai ras-le-bol de cette information » a précisé Plastic Bertrand.
Estimant être « traité comme de la merde », Plastic Bertrand s'est étonné de voir son ancien producteur s'en prendre à lui une fois leur contrat rompu. Sur Europe 1, il a confirmé qu'il comptait le poursuivre en justice.