Je m’oxytest !

Publié le 28 juillet 2010 par L'équipe D-Lab

Il est temps de perdre mes mauvaises habitudes. Par exemple, me farcir de thé vert et de jus de goyave jusqu’à ce que pipi s’en suive, pour ne pas m’oxyder le corps, n’est pas forcément l’idée du siècle.

Je peux désormais mesurer mon besoin réel en antioxydants. Petit flash back sur le processus…


Oxytest

Germaine s’expose à l’oxygène et au soleil – deux choses fondamentales de sa vie. Pourtant, ceux-ci est à la base de la formation des radicaux libres, composés très réactifs et potentiellement toxiques pour toutes les molécules biologiques. En attaquant les membranes cellulaires de Germaine, certaines protéines et l’ADN, ceux-ci représentent en effet un véritable danger.

Si l’oxygène est une molécule nocive pour tout élément vivant, elle reste indispensable à la production d’énergie des organismes dits aérobies (on retient !). Question oxygène, danger rime avec nécessité.

Les défenses antioxydantes permettent de contrôler et de maîtriser les réactions d’oxydation menant aux radicaux libres, groupes moléculaires chargés en électrons négatifs extrêmement réactifs et capables d’altérer les membranes cellulaires.

Alors pour savoir jusqu’où mon besoin en antioxydants s’étend, je contrôle le niveau de stress oxydatif.

OXYTEST, comment ça marche ?  La dégradation des membranes cellulaires génère une substance appelée Malondialdéhyde (MDA). Éliminé par les reins, on peut voir l’étendue des dégâts au travers de la concentration de MDA dans les urines de Germaine. En bref, le test consiste à déterminer la concentration de MDA dans l’urine grâce à une réaction colorée.

Autour de 14€ en pharmacie et parapharmacies en ligne, je cours l’acheter.

Cosmétoniquement vôtre xxx