Le cinéaste déclarait que c'est parce que « les juifs contrôlent les médias » occidentaux que l'on mettait autant l'accent sur le drame de l'Holocauste. Il expliquait par la suite qu'Adolf Hitler avait fait « plus de mal aux Russes qu'aux juifs ». Des assertions qui ont provoqué la colère immédiate de nombreuses associations.
Cette semaine, le réalisateur oscarisé de Platoon et Wall Street a présenté des excuses publiques dans un communiqué. Il regrette d'avoir fait un « amalgame maladroit sur l'Holocauste » et de s'être mal exprimé. Et en deux jours, il a radicalement changé d'avis, et a compris que, « bien évidemment, les juifs ne contrôlent pas les médias ou une quelconque autre industrie ». Il en profite pour saluer au passage les efforts « inlassables de nombreuses personnes engagées dans le travail de mémoire sur cette atrocité ».