J’ai dû acheter le 2ème Mac Intosh des Alpes Maritimes, en 1984 et pendant près de 20 ans, j’y suis resté fidèle, à la maison comme au boulot, ayant la chance de pouvoir acheter et faire acheter ce que je jugeais le plus fonctionnel.
En 2002, changeant d’affectation, j’ai dû me résoudre au PC, professionnellement d’abord puis, emportant mes dossiers chez moi le soir et le week-end, sur le bureau familial.
L’adaptation, si elle n’a pas été difficile, a été douloureuse, devant m’habituer à des démarrages longs, des plantages courants, des virus malins et des performances baissant inexorablement dès la seconde année d’utilisation avant de tout ré-implanter (deux jours de boulot à chaque fois pour recharger tous les logiciels et utilitaires et rebâtir la configuration à laquelle je tenais…).
Ma fille, il y a quelque mois, sachant mon applemanie toujours présente, m’a vanté le dernier MacIntosh qu’elle venait de s’offrir, son ergonomie, son faible encombrement, ses performances.
Eh bien, moi aussi, je me suis retrouvé sur Apple juste avant mes 10 jours de vacances et je redécouvre le confort, la vitesse, la définition d’écran, que je n’avais pas oublié malgré ces 8 ans de purgatoire. En outre, mon bureau n’est plus encombré par cette inélégante tour qui avalait toutes les poussières et dont le ventilateur faisait un bruit d’enfer. Plus de plantages intempestifs, silence et efficacité.
Il m’a fallu une journée pour tout recharger et trouver les logiciels compatibles avec mes fichiers, une autre pour tout réorganiser et depuis, j’apprécie de retrouver des réflexes et des astuces que je croyais oubliés et, au volant de cette confortable, silencieuse et puissante limousine, oublier la charette que je conduisais hier.
Il va de soi que ce post est exempt de toute publicité.
- Pétition socialiste niçoise. Blog du PRG.
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