Je quitte Cadix, sans toutefois embarquer sur un navire vers le nouveau monde. Remarquez, la ville n'a pas oublié son passé de port important vers les colonies, comme on peut le voir dans les noms des rues autour du port...
L'homme à cheval, eh bien c'est la surprise de Cadix, pour ce voyageur-ci: il s'agit de Simon Bolivar, une figure omniprésente en Amérique latine, mais qui étonne dans les vieux pays.
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Notez que ce blogue fera bientôt relâche pour une période de deux semaines. Je ne sais pas à partir de quand, par contre, car ça va dépendre des accès internet que je trouverai en chemin, mais je tenais à vous prévenir, chers lecteurs, au cas où ceci soit le dernier billet avant la mi-août.
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(Le titre de ce billet est aussi une double référence).
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