Chaque année, c’est pareil direction Yves Rocher pour acheter mon huile au Monoï.
Et je me fous de sentir fort le monoï et de devenir une de ses filles qu’on déteste dans le bus le matin parce qu’elle « cocotte ».
Mon monoï c’est ma récompense pour rester coincée à Paris tout le mois de Juillet pendant que certains s’ébattent déjà sur la plage.
La première vaporisation me transporte direct à la plage, me rappelle la sensation du sable sur ma peau et mes cheveux blondis par le soleil…
L’odeur du monoï c’est l’odeur de l’été. Personne ne se parfume au monoï l’hiver. Et pourtant, ça nous réchaufferait un peu en cas de neige, de verglas. C’est comme écouter du reggae ou un air de salsa en plein hiver. Il suffit de fermer les yeux et me voilà entrain de danser sur la playa.
Ça ne dure que le temps d’un trajet en bus, d’une pause café mais ça à au moins le mérite de me remonter le moral et c’est toujours ça de pris.
Bref, mon monoï cette année, c’est ma récompense à l’année écoulée, aux ruptures, aux remises en questions, aux doutes, aux angoisses, aux changements radicaux….
Alors je dis oui au monoï des villes!
Mots-clés : monoï, Yves Rocher
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 28 juillet à 09:14
Drôle votre post. Du coup, faites découvrir aux passagers des bus tous les parfums de Tahiti !
Mdr
laurent