Un revirement étonnant quand on sait que la direction a pendant près de deux semaines joué le pourrissement. Et d'autant plus incompréhensible quand on sait que, si les grévistes ont perdu un tiers de leur salaire dans l'aventure, les pertes en ventes et en pub pour l'entreprise se montent à plusieurs centaines de milliers d'euros.
Selon nos informations, la direction a jusq'au dernier moment tenté de rogner quelques ducats, et tenté de diviser les différentes catégories de personnel (journalistes "nantis" contre employés de presse "victimes"). Ce qui explique que l'accord, quasiment finalisé à 14 heures, selon les instructions d'Alain Bailly, n'a été signé que peu avant 20 heures, lundi...