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Ce matin, à 6hoo, en allant travailler, j'ai franchi d'affilée deux feux qui sont passés au vert au moment où j'arrivais. J'ai su que la journée serait belle.
Au foyer, une place unique, juste en face du portail, m'attendait tranquillement.
Sézaltina est venue avec des viennoiseries, d'excellents croissants et pains au chocolat, alors que Virginie et Céluta nous ont accueillis avec sourire et bonne humeur.
Puis au cours de la matinée, en me penchant vers la fenêtre, je suis tombé nez à nez sur Nelly qui passait par là, ce qui m'a complètement ravi. Nous l'avons invitée au foyer pour papoter autour d'un café.
Ensuite, Anne par téléphone nous a communiqué un peu de sa vitalité.
Et lorsque Sophie et Mélina sont arrivées, j'ai continué à bavarder comme pour profiter au maximum du jour faste que j'avais pressenti.
À la maison, sur internet, j'ai constaté que Silvia m'avait laissé un joli commentaire sur un texte que j'avais publié et que Laetitia m'avait remercié pour la belle musique que je lui avais fait découvrir.
Le soir, après un copieux dîner, nous somme allés avec Pascal, voir Toy story 3 qui n'était pas parfait mais qui est parvenu, n'ayons pas honte de le dire, à me faire légèrement pleurer.
Enfin, sur le trajet du retour, une lune quasi-pleine illuminait merveilleusement les petits nuages cotonneux qui rêvassaient...
Nous ne sommes parfois que des enfants qu'un rien suffit à combler...