Plus loin, l'utilité de la démarche réside dans l'exploration des liens faibles et professionnels sur Facebook (les amis des amis). Le principe marche, à condition que nos amis (sur Facebook) aient donnés un minimum d'informations sur leur situation professionnelle (nom de l'entreprise, poste, etc...), ce qui n'est pas toujours le cas.
La catégorie "Profile" donne plus clairement des indices sur les entreprises pour lesquelles travaillent nos amis. Pour les employeurs, il y a ainsi une possibilité de jouer sur la cooptation, d'augmenter la visibilité des pages facebook dédiées également et des offres d'emploi.
En début de semaine, le New York Times pose carrément la question suivante: est-ce que Linkedin devrait se méfier de BranchOut ? Comme Matthew Ingram le souligne, BranchOut est adapté pour les personnes qui ne font pas de différences entre le privé et le professionnel.
Et justement, la tendance est que sur Facebook, les gens préfèrent restreindre leur cercle et l'accès aux informations. C'est là où Linkedin prend un avantage, où ses utilisateurs marquent une claire limite entre le privé et le professionnel (les nouveautés de ce dernier prouve une volonté d'inclure certaines fonctionnalités "sociales" comme pour les groupes ci-dessous):