Toy Story 3

Publié le 25 juillet 2010 par Ptiterigolotte @ptiterigolotte

 - COUP DE CŒUR -
11 ans d'attente ! Toy Story 3 est enfin sur nos écrans pour le grand bonheur des petits mais surtout... des grands. Car Toy Story, c'est toute mon enfance. A l'époque, Pixar n'avait pas encore la renommée qu'ils ont maintenant (même si c'est grâce à ce film -leur premier- qu'ils l'ont eu). C'était l'époque des toutes premières images de synthèse, aujourd'hui on pourrait dire que c'est l'époque des images 3D.  Un monde sépare ces deux films, seul le scénario reste intact.
En effet, Toy Story, c'est avant tout un scénario de dingue : imaginez vous, vous dormez tranquillement et sans que vous vous en apercevez vos jouets s'animent et vivent une vie remplie de rebondissements. Le speech d'enfer.
Cette recette marche encore et Pixar a su maintenir la surprise, l'émotion et l'humour des deux premiers en inventant un tout dernier (normalement) Toy Story

L'histoire...Comme vous et moi, nous avons tous été confrontés à la dure tâche de se débarrasser de nos chers jouets adorés dans l'enfance chérie. Difficile en général de choisir quel ou quel jouet finira :
1 : à la poubelle
2 : au grenier
3 : dans des vide-greniers
Pour ma part, les miens ont eu de la chance, ils ont presque tous finis leur vie au grenier, rares ont atterris la poubelle et presque aucun dans des vide-greniers.
Mais est ce que nous nous sommes imaginés qu'une bande de joyeux animateurs allaient mettre en film ce que les jouets (si vie ils avaient) pensaient de tout cela. Et bien Pixar l'a fait !
Woody, Buzz et consorts ont vieillis en même temps que leur propriétaire : Andy a maintenant 18 ans et s'en va à l'université. Il doit donc vider sa chambre et se débarrasser de ses vieux jouets. Par un curieux concours de circonstance, la bande de joyeux lurons (mention spéciale au T-Rex, tordant de tendre débilité) se retrouvent dans une garderie où règne en patriarche un ours en peluche sentant... la fraise.
Péripéties, suspense haletant, personnages secondaires hilarants (Ken, mon beau Ken, tu ne résistes donc pas au sex appeal de Barbie justaucorps !) inquiétants (le bébé borgne), faux-jetons (méfiez vous des ours roses !) ou séduisants (ah Buzz, version espagnole : Te amo mi amor de mi vida, jajaja !).
Ce troisième épisode clôt en merveille cet saga qui risque de tourner en boucle dans ma chaumière.
Ze veux un zouet, là, de suite !