genre: comédie de science fiction, parodie (interdit aux - 16 ans)
année: 1989
durée: 1h40
l'histoire: Flesh Gordon est devenu acteur et raconte ses exploits passés dans des films minables. Il est kidnappé par des majorettes interstellaires, qui en veulent à sa virilité. En effet, leur planète n'abrite que des hommes impuissants.
la critique de Eelsoliver:
Suite des aventures de Flesh Gordon. Quinze ans plus tard, le réalisateur, Howard Ziehm, reprend les hostilités. Pour le retour de Flesh Gordon ou Flesh Gordon 2, changement d'acteur pour incarner le blondinet de service.
Cette fois-ci, c'est Vince Murdocco qui se voit affublé d'un déguisement ridicule ! En vérité, cette suite se situe dans la lignée du premier mais joue la carte de la démesure.
Il y a plus de femmes à poil, de nichons et de parties de sexe dans ce second volet. Ensuite, il est amusant de voir comment le film sait se moquer de son héros, devenu un véritable has-been.
En effet, désormais, Flesh Gordon raconte ses exploits d'antan dans des séries B pourries. Mais des femmes (évidemment à poil ou en petite tenue) en veulent à son sexe.
Ces dernières viennent d'une lointaine planète. Et leur monde doit malheureusement faire face à une épidémie qui a rendu les hommes impuissants.
Seul Flesh Gordon semble capable de résoudre ce problème. Ce qui intéresse également le méchant de service (qui se fait appeler "votre protubérance").
Ce dernier cherche également à s'accaparer du gros membre de Flesh Gordon afin de satisfaire pleinement madame (comme par hasard une grosse vache braillarde...).
Voilà pour les présentations ! Le retour de Flesh Gordon est tout aussi déjanté et débile que son prédécesseur. Vive le mauvais goût !
On retrouve évidemment le vaisseau spatial de Flesh en forme de pénis. D'ailleurs, ce dernier échouera sur une planète où il devra affronter un sexe géant qui en veut terriblement à son postérieur !
Vous l'avez donc compris: voilà une parodie de science fiction très portée sur le sexe. Mais la formule fonctionne toujours aussi bien.
Après, ça reste évidemment un nanar mais un mauvais film plus que sympathique !
Note: 12/20
Note nanardesque: 18.5/20