Rentrer du travail le soir par les transports en commun constitue souvent le dernier exploit de nos journées laborieuses de banlieusards. Les wagons bondés, les problèmes techniques qui retardent ou même suppriment les trains, tout est prétexte à énervement. C’est ma vie, c’est notre vie quotidienne. Et puis un jour, sans qu’on sache très bien pourquoi, le voyage devient idyllique.