L'histoire: Dimanche 29 août à 14h
Lundi 30 août à 20 h
Mardi 7 septembre à 20h
Mercredi 8 septembre à 20h
Lire Philippe Muray à l’ère de l’hyper festif a quelque chose de réjouissant et de très stimulant.
Fabrice Luchini
La presse en parle:
Lecteur enthousiaste de l’œuvre de Philippe Muray (auteur du XIXe siècle à travers les âges), disparu brutalement le 2 mars 2006, Fabrice Luchini avait donné à entendre ses textes, dont celui, irrésistible, sur les nouveaux emplois de Martine Aubry, l’an passé…
L’Express.
Après Barthes et la Fontaine, l’acteur célèbre le philosophe iconoclaste, disparu en 2006.
C’est l’époque elle-même, ses travers, son « infantéisme », ses précieux, ses ridicules, ses tartufes qui, par la voix entêtante et le phrasé précis de Luchini se déploieront sur la scène. L’acteur aime la langue française, la drôlerie, la singularité et la liberté. En un mot, la littérature. Avec une préférence pour les moralistes grand teint, surtout quand ils manient l’humour du désespoir. Ces deux-là ne pouvaient donc que se rencontrer.
E. Lévy – Le Point.
L’acteur se régale, interprète, jubile. On a rarement vu autant d’intelligences en éveil dans une salle ; comble, attentive, jeune. Il y a des pensées qui se tiennent debout ; comme une ville. Celle de Muray en est une. Courez l’écouter avant que le spectacle ne soit interdit.
B. de Saint Vincent – Le Figaro